Bigflo et oli zenith toulouse




Bigflo et oli zenith toulouse



















































Mais Florent et Olivio préparent plus forts avec 2 Zénith dans leur ville. Ils devaient à la base intervenir dans un grand nombre de scènes , mais par manque de disponibilité, ils n'ont pu apparaître que dans une petite scène humoristique à la fin. Florian dit toujours qu'il ne quittera jamais Toulouse, comme Nougaro et Zebda. En janvier 2018, le duo est nominé dans 2 catégories des : catégorie « Album de musiques urbaines » avec leur album et catégorie « Chanson originale » avec leur chanson Dommage.


fils, ces le père de Bigflo et Oli se confie avant le Zénith de Toulouse

Adeptes des morceaux de storytelling Monsieur tout le el, Le Cordon, Marco, Salope. En attendant, ils sont au zénith… certainement pour un bon bout de temps. » En juin 2015, ils font une petite apparition dans une vidéo du youtubeur. Ils commencent à se faire connaître en faisant des à Toulouse Rap Contenders. L'avortement est un sujet servile mais le jeune duo essaie d'en parler avec le plus de justesse possible, en confrontant deux points de vue opposés et complémentaires. The Voice Belgique En janvier 2017, les deux frères rejoignent le jury de la de. « On a composé des morceaux, on a un peu grandi et on va aborder des thèmes qui met ont touchés », poursuivent-ils.
Mais on va profiter au maximum, des gens qui ne sont pas de Toulouse viennent exprès nous voir », expliquent en chœur les frères de 19 et 23 ans. On avait tous fini en pleurs, même le public, c'était un moment de dingues!
Moi je savais depuis le début qu'ils étaient en avance pour leur âge, donc leur succès ne me surprend pas.
fils, ces le père de Bigflo et Oli se confie avant le Zénith de Toulouse


fils, ces le père de Bigflo et Oli se confie avant le Zénith de Toulouse - En 2009, la chanteuse avait donné quatre concerts au Zénith mais avec à chaque fois 9 000 spectateurs.
fils, ces le père de Bigflo et Oli se confie avant le Zénith de Toulouse

Les jeunes rappeurs Florian et Olivio Ordonez ont grandi dans le quartier des Minimes, celui de Nougaro. France Bleu Toulouse a rencontré leur père, Fabian, à quelques heures du concert. Fabian Ordonez, le père de BigFlo et Oli © Radio France - Alban Forlot Toulouse, France Si vous avez des ados à la maison, à coup sûr, ils ne parlent que d'eux : Bigflo et Oli. Ils n'ont que 20 et 23 ans, mais remplissent déjà le Zénith et ses 7. Florian et son petit frère Olivio ont grandi aux Minimes, fait leur scolarité au lycée Saint-Sernin et étudié au Conservatoire de Toulouse. Désormais disque d'or avec leur album la Cour des Grands sorti l'an dernier, les deux rappeurs qui écrivent eux-mêmes leurs textes et mélodies enchaînent les plus grandes places artistiques : le Zénith de Toulouse avec Zebda avec guest-star! Copier France Bleu Toulouse : Comment se sent le papa de Bigflo et Oli à quelques heures de ce grand rendez-vous au Zénith? Fabian Ordonez : Je suis plus stressé qu'eux, je suis dans le métier et j'appréhende surtout les problèmes techniques, le Zénith c'est une grande salle. Comme je jouais surtout le soir et le week-end, j'avais toute la semaine pour m'en occuper quand ils étaient petits. Je les emmenais au théâtre, au Conservatoire où sa mère et moi les avons inscrits. Olivio faisait de la trompette, Florian de la batterie et moi je faisais le taxi! Je faisais le taxi entre l'école, le théâtre, le Conservatoire, les concerts quand ils étaient petits. Il y a une semaine, dans nos studios, ils nous ont dit qu'ils avaient eu la chance de ne pas être trop poussés par leurs parents.... Ils étaient très libres c'est vrai, mais ils ont passé beaucoup de temps avec moi aux concerts et au Barrio Latino NDLR : un lieu salsa à Toulouse, quartier Croix-de-Pierre et dès 5-6 ans, ils montaient sur scène avec nous à taper sur des tambours ou à jouer aux maracas. Depuis tout petits, quand ils voyaient une scène, ils montaient dessus! Il y a l'influence musicale, il y a aussi l'influence culturelle. Vous êtes argentin, leur mère Patricia d'origine algérienne. La seule chose, c'est que je les ai dégoûtés de la salsa, ils en ont tellement entendu! Mais ils aiment tous les styles de la musique, même si le rap passe toujours en premier. Tout ce que je voulais, c'était qu'ils réussissent, peu importe leur style. Mais je le voyais venir car depuis tout jeunes, ils écrivaient des textes, surtout Florian. Leur mère les amenait à des soirées de slam où ils lisaient des textes alors qu'ils n'avaient pas dix ans, pour les autres, c'était une curiosité. Florian et Olivio sont venus en mars dans les studios de France Bleu Toulouse © Radio France - Alban Forlot La réputation un peu sulfureuse du rap ne vous a pas fait peur en tant que parents? Au contraire, on n'a rien dit, on les a même encouragés. D'ailleurs, i, c'est moi qui filmait dans les rues de Toulouse. Et dès cet âge, leur écriture était très profonde, rien à voir avec le rap typique. Florian et Olivio sont toujours très attachés à Toulouse? Florian dit toujours qu'il ne quittera jamais Toulouse, comme Nougaro et Zebda. D'ailleurs vos filS vont faire l'Olympia dans trois semaines. Et c'était Zebda évidemment... Un des premiers concours que les garçons ont gagné, avec cette chanson d'ailleurs, c'est le Concours Claude Nougaro, remis par Zebda. Beaucoup d'artistes les ont pris sous leurs ailes. Moi je savais depuis le début qu'ils étaient en avance pour leur âge, donc leur succès ne me surprend pas. C'est incroyable, ils sont à fond, ils les suivent en permanence. Et Florian et Olivio sont très proches de leurs fans.